Code-barres pour vos packagings : Comment faire ?

Dans le commerce, vous ne trouverez pas un seul produit sans code-barres. En effet, afin d’être reconnu dans tous les pays et tous les systèmes de vente, le code-barres est une codification de référence.

 

Pour toutes les équipes chargées de développer un nouveau produit, il convient donc d’intégrer le code-barres au packaging. Mais alors, à quoi correspond le code-barres ? Comment en créer un ? Faut-il nécessairement utiliser un générateur de codes-barres ? Des réponses dans cet article où nous vous guidons pas à pas pour créer vos codes produits uniques. ⤵️

Date de publication 10/01/23

  • Sommaire
  • À quoi sert un code barre sur un packaging ?
  • Comment choisir son code-barres pour son packaging ?
  • Comment obtenir un code-barres pour son packaging ?

À quoi sert un code barre sur un packaging ?

Code-barres : de quoi parle-t-on ?

On l’appelle code-barres : il s’agit d’une combinaison de chiffres, de barres, d’espaces et de symboles que l’on retrouve sur tous les produits mis à la vente.
On voit aussi les acceptions suivantes pour parler d’un code-barres : codes-barres EAN (European article numbering, EAN 128) ou GTIN (Global Trade Item number).

Le code-barres est une manière simple d’identifier des produits. Chaque séquence de chiffres cache des informations précises sur le produit. De même, chaque produit a son propre système d’identification : il ne peut pas y en avoir deux identiques.

Traditionnellement, le code-barres se présente sur les packagings des produits, au dos de l’emballage et dans un coin. Il est très reconnaissable par son design noir et blanc.

Pour lire un code-barres, il faut être équipé d’un système de lecture spécial doté d’un capteur électronique. Par exemple, un lecteur de code EAN, une douchette ou un scanner code-barres.

Le rôle du code-barres est de permettre :

  • D’identifier un produit rapidement;
  • De mieux gérer les stocks produits et les inventaires;
  • De connaître la provenance d’un produit facilement.

 

Tout cela se fait très rapidement grâce aux lecteurs électroniques. La preuve, tous les jours, plus de 6 milliards de codes EAN sont scannés partout dans le monde !

De quoi est composé un code-barres ?

Un code-barres est toujours constitué des mêmes éléments. Ils sont donc simples à déchiffrer lorsque l’on connaît la signification de chaque détail du code-barres.

Pour illustrer, nous allons prendre l’exemple d’un code-barres à 13 chiffres qui est le plus courant pour les produits de grande consommation. Ainsi, il sera composé :

  • D’un nombre pour représenter le pays d’origine du produit. Pour la France, il s’agit des nombres 300 à 379. Il s’agit des 2 ou 3 premiers caractères du code-barres;
  • Les 3 ou 4 chiffres suivants informent sur le fabricant, l’emballeur ou l’embouteilleur. Ces numéros sont attribués par GS1, l’organisme officiel et mondial qui détermine les méthodes de codage utilisées dans le domaine de la logistique;
  • Les 4 à 6 chiffres suivants qui arrivent en troisième position renseignent sur le numéro du produit;
  • Enfin, le dernier numéro est ce qu’on appelle “la clé” : c’est un chiffre de contrôle calculé à partir des douze premiers chiffres, elle permet de vérifier que le code-barres est correct.

 

Et comme une image vaut toujours mille mots, voici un exemple avec un code-barres fictif :

 

Code barres

Le code-barres : un atout pour les entreprises

Le code-barres est une invention qui a révolutionné la façon dont les transactions sont réalisées, partout dans le monde. Il s’agit d’un standard dans le commerce aujourd’hui.

Du côté, des entreprises, on peut saluer son intérêt pour plusieurs raisons :

D’abord, le code-barres aide à mieux gérer les flux produits et les stocks. En effet, lorsqu’un produit est mis sur le marché et vendu, on le sait automatiquement. Cela facilite l’inventaire et la gestion des stocks.

Les produits sont également mieux tracés avec le code-barres. Les commerçants qui se procurent un produit auprès d’un fournisseur peuvent rapidement identifier le pays d’origine et le producteur du produit.

Enfin, le code-barres est un atout pour lutter contre la fraude. Un produit scanné, doté d’un code-barres et qui passe en caisse, est alors enregistré comme produit vendu. Il ne pourra donc pas faire une autre apparition dans le système commercial.

Mais aussi… Un plus pour le consommateur

L’arrivée du code-barres dans le commerce a aussi modifié le rapport du consommateur avec les produits. Le premier avantage pour le consommateur est bien sûr la réduction du temps passé en magasin.

En effet, les scanners lecteurs de code-barres permettent aux hôtes et hôtesses de caisse de passer de nombreux produits à la minute. On peut le dire : l’invention des EAN a transformé le commerce et permis l’essor du supermarché.

En ayant la possibilité de vendre plus rapidement, les supermarchés ont pu réduire les coûts. Plus de consommateurs ont alors pu avoir accès aux produits vendus dans les supermarchés.

Grâce aux codes-barres, une personne qui achète gagne également en sécurité car ce système d’identification des produits rend les achats plus sûrs.

De plus, le code-barres donne des indications claires sur la provenance d’un produit. À condition bien sûr d’être en mesure d’interpréter les chiffres du code-barres !

Comment choisir son code-barres pour son packaging ?

Choisir le code-barres de son produit

Vous le savez, créer un packaging pour un nouveau produit est un processus exigeant qui offre autant de possibilités que la formulation même d’un produit.

Les matières, les formes, les couleurs, les textures sont infinies… ! Sans compter qu’un produit dispose de plusieurs emballages : emballage primaire, secondaire et tertiaire.

Aussi, il existe de nombreuses façons d’identifier un packaging à l’aide des codes-barres. Sa place et sa forme en tant que code-barres varient en fonction du produit, de sa catégorie de produit et de son utilisation.

Par exemple, certains codes-barres permettent d’embarquer avec eux des informations très précises comme le poids d’un produit ou sa date de péremption. D’autres codes sont plus basiques et donnent avant tout des informations sur l’origine du produit.

En somme, on ne va pas identifier de la même façon un kilo de bananes, une voiture, un rouge à lèvres ou des médicaments. Voici ci-dessous une liste des principaux codes que l’on retrouve dans le commerce.

 

Les codes-barres unidimensionnels

En général, on parle de deux types de codes-barres : les codes unidimensionnels (1D) et les codes bidimensionnels (2D). Explications :

En premier lieu, le code-barres unidimensionnel (1D), dit UPC (Universal Product Code), est le code classique que l’on aperçoit sur la plupart des produits.

On le reconnaît avec sa série de barres noires parallèles caractéristiques et ses espaces. Sous cette barre verticale composée d’espaces, un numéro codé est indiqué.

Pourquoi dit-on que ces codes sont unidimensionnels ? Car leur lecture avec un appareil dédié se fait de façon unidimensionnelle, ou bidirectionnelle.

Ces codes sont les plus simples à produire parmi la grande variété de codes-barres existants.

Nous les avons mentionnés dans la première partie de cet article : les codes EAN sont des codes unidimensionnels.

✅Ses avantages :

  • La plupart des produits peuvent être floqués de ce code, même les emballages ronds et fins comme les câbles
  • Il est très couramment utilisé, notamment en Europe
  • Ce code est très accessible d’un point de vue financier

 

❌Ses limites :

  • On peut scanner les codes horizontalement seulement
  • Il prend de la place sur les emballages
  • On ne peut y stocker des données plus poussées que celles du pays fabricant, code fabricant, numéro produit et clé de vérification. Les seules données stockées sont numériques et limitées (48 caractères maximum)
  • Un code-barres endommagé peut être difficile à lire

Les codes-barres bidimensionnels

Les codes-barres 2d à deux dimensions ou bidimensionnels sont des codes qui peuvent être lus dans tous les sens : à l’horizontale et à la verticale. Visuellement, ils ont la forme d’un carré composé de petits cubes noirs et blancs.

Ils contiennent une grande quantité de données.

On répertorie trois types de codes 2D :

  • Codes data matrix : ils étiquettent les documents et peuvent stocker jusqu’à 3000 caractères. Les médicaments sont par exemple identifiés avec ce type de code 2D;
  • Codes QR ou QR codes (Quick Response Code) : ces codes se sont démocratisés avec l’arrivée du smartphone. Ils sont simples à créer et faciles à utiliser. Toute personne disposant d’un smartphone peut les lire;
  • Codes Aztec : ils sont principalement utilisés dans le domaine du transport et de la culture (billets de train ou concert).

 

✅Les avantages des codes 2D :

  • Leur capacité de stockage est bien plus importante qu’un code-barres 1D : on peut compter jusqu’à 3000 caractères
  • Tous les objets peuvent faire l’objet d’un marquage avec un code à barres 2D car cela fonctionne aussi sur un petit produit
  • Les codes 2D sont très précis et restent lisibles même si un code-barres est effacé
  • Lire les codes-barres se fait facilement car ils sont lisibles dans toutes les directions

 

❌Les limites des codes 2D :

  • Les codes 2D ne peuvent être lus par un scanner de codes 1D, il faut nécessairement une technologie qui lit les photos comme un smartphone ou un outil dédié plus cher (exemple : lecture des billets de train)

Les nouveaux codes-barres : le cas des QR code et puces RFID

Les codes-barres QR sont de plus en plus utilisés et vivent une seconde naissance depuis la pandémie Covid-19. En effet, ils ont permis de délivrer un grand nombre d’informations aux clients sans engendrer un contact physique (menus dans les restaurants, affiches publicitaires, etc).

Alors, quelles sont les raisons qui poussent à considérer le QR code comme un code d’avenir ?

La raison est simple ! Il est très peu coûteux, rapide et très généreux. En effet, dans un magasin, un consommateur doté d’un smartphone peut vite obtenir toutes les informations qu’il souhaite sur un produit :

  • Origine (pays de production, producteur);
  • Date limite de conservation;
  • Numéro de produit;
  • Informations nutritionnelles et Nutri-Score éventuellement associé;
  • Labels éventuels;
  • Liste des ingrédients;

 

Forcément, c’est un atout considérable pour les clients !

Parallèlement, on voit aussi l’apparition de d’autres formes de systèmes d’identification. Par exemple, la technologie des puces RFID (identification par radiofréquence) est aussi en fort développement.

Les magasins de vêtements ont été les premiers à utiliser cette technique en intégrant des puces dans les étiquettes des vêtements. Ainsi, les puces déclenchent le système d’alarme en cas de vol.

Mais de plus en plus de boutiques utilisent aussi la puce RFID pour faciliter d’autant plus le passage en caisse. C’est le cas de l’enseigne Décathlon qui propose désormais un passage en caisse équipé de lecteurs RFID : il suffit alors simplement de déposer les vêtements dans la caisse dédiée. L’hôte ou l’hôtesse de caisse n’a pas besoin de passer le produit devant un scanner.

Une révolution en cours : le passeport numérique SORGA

Après le code barre, la révolution à venir est dans le développement de passeports numériques. SORGA Technology, notre partenaire, en est l’initiateur avec l’aide de chercheurs en cryptographie du CNRS.

Concrètement, qu’est-ce que le passeport numérique ? Une solution accessible, sans télécharger d’application, qui permet aux consommateurs de visualiser facilement les informations d’une entreprise sur un produit via un QR code.

SORGA Technology s’appuie sur la blockchain pour proposer une expérience à l’impact énergétique moindre et sécurisée.

L’innovation promet de grandes avancées pour les marques éco-responsables : elles pourront alors révéler tous leurs engagements à leurs clients (origine des produits, preuves d’éco-conception…). Impossible alors de voir apparaître la contrefaçon ou d’avancer des propos sans en apporter la preuve. Un outil pour la lutte contre le « greenwashing ».

De plus, le passeport numérique lié à un produit se transforme en messagerie directe entre la marque et le consommateur qui achète le produit. C’est donc un atout pour les marques pour proposer un contenu exclusif.

 

QR code

Comment obtenir un code-barres pour son packaging ?

Comment créer un code-barres ?

Pour créer un code-barres externe, il faut passer par l’organisation en charge de leur création. GS1 (Global Standard 1) est l’organisme mondial habilité à générer des codes d’identification produits. Il s’agit d’un standard global pour identifier les produits de façon unique durant la Supply Chain, grâce au code GTIN et code-barres produit (ou EAN-13).

C’est grâce au standard EPICS (STANDARD GS1) que la traçabilité se déroule aussi facilement, et permet de communiquer facilement sur des événements provenant de flux supply chain ou de production via des API standardisées.

Pour cela, une entreprise se doit de s’inscrire et de souscrire à un abonnement en tant qu’entreprise. Cela va lui permettre de créer un code entreprise qui sera utilisé sur les futurs codes-barres. Puis, la création régulière de codes-barres sera facilitée.

L’entreprise peut ensuite utiliser un logiciel pour créer ses propres codes-barres à partir de son code d’identification entreprise. Notez que les codes produits indiqués sur le code-barres à la suite du code fabricant/entreprise sont propres à chaque organisation. Ainsi, une entreprise peut générer des codes automatiques comme elle le souhaite (en fonction de la date de création du produit, de sa catégorie, etc).

Aujourd’hui, les deux types de codes-barres qui restent les plus utilisés sont les codes à une dimension. Par exemple :

  • l’UPC (Universal Product Code) qui possède 12 chiffres;
  • l’EAN (European Article Number) et IAN (International Article Number) avec leurs 13 chiffres;
  • l’ISBN (International Standard Book Number) pour les livres uniquement.

Faut-il utiliser un générateur de code-barres ?

L’organisme GS1 précédemment cité, se charge d’attribuer à chaque entreprise un préfixe entreprise (pour les produits ; les entreprises, entités & lieux ; les unités logistiques ; les pièces, composants & équipements). Mais ensuite, l’entreprise est libre pour créer le code produit.

Il est donc possible d’avoir recours à un logiciel ou une application qui génère des codes-barres. Des sites web proposent également ce type de service. Chaque entreprise s’organise selon ses préférences. Vous pouvez également passer par des entreprises spécialisées, telles que notre partenaire SORGA, qui se charge de produire des codes-barres notamment unique pour ses clients.

Par ailleurs, les codes-barres utilisés à l’interne peuvent être entièrement réalisés à partir d’un générateur de code-barres.

La méthodologie pour créer son code-barres en ligne

En France, pour obtenir un code-barres externe, il faut s’adresser à GS1 France (qui va impacter le suivi du cycle de vie ; la supply chain & la logistique ; les commerciaux & transactionnels). Puis, la méthodologie se déroule en trois étapes :

Inscription sur le site de l’organisme GS1

En France, toute entreprise, administration publique, collectivité territoriale ou établissement de soins publics et privés, doit se rendre sur le site de l’organisme GS1 France pour créer un code-barres.

Il faut dans un premier temps adhérer à l’organisme afin d’obtenir une licence d’utilisation de code-barres. Cette licence va permettre de créer des codes produits à l’infini.

Pour créer un profil et adhérer, il faut renseigner les informations suivantes :

  • Information de contact (nom, téléphone, fonction dans l’entreprise);
  • Information entreprise (SIREN, KBIS, numéro de TVA intracommunautaire, code NAF ou APE, activité);
  • Canaux de distribution primaire et secondaire (site internet, marketplace, distribution généraliste, distribution spécialisée, industrie…);
  • Chiffre d’affaires : après avoir rempli ce champ, une estimation du montant de la cotisation est calculée pour la première année d’inscription;
  • Besoin (identifier des produits avec codes-barres pour des produits de sa propre marque ou de marque tierce, etc.);
  • Estimation du nombre de codes souhaités dans les prochaines années.

Paiement de la cotisation

Pour terminer l’inscription, l’adhésion passe par le règlement de la cotisation annuelle. Celle-ci est calculée automatiquement en fonction du chiffre d’affaires estimé de l’entreprise.

Le montant de l’adhésion est donc compris entre :

  • 41€ et 4190€ pour une entreprise;
  • 500 et 900€ pour les hôpitaux;
  • 50 à 91€ pour les collectivités territoriales.

Le code-barres est généré automatiquement

Juste après avoir payé la cotisation annuelle, l’organisation ou l’entreprise se voit attribuer un préfixe entreprise par l’organisme GS1 France. Il est ensuite facile de créer soi-même ses propres codes-barres.

Créer des emballages en bonne et due forme avec Loopz

Lorsqu’un code-barres est généré automatiquement, il ne reste plus qu’à l’imprimer et à le positionner sur l’emballage produit. Les produits seront alors facilement identifiables et pourront commencer leur nouvelle vie jusqu’à trouver leurs futurs consommateurs.

Entre la génération du code entreprise auprès de GS1 et l’impression finale de l’emballage produit, de nombreuses étapes sont nécessaires. Aussi, pour être en conformité juridique et éviter tout problème dans l’impression des étiquettes, il convient d’avoir une organisation redoutable.

Nombreuses équipes devront relire les impressions des étiquettes et des emballages produits. Avez-vous pensé à vous équiper d’une solution logicielle capable de vous soulager dans cette mission ?

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FAQ : Code-barres

Quelles informations contient un code-barres ?

 

Il existe plusieurs types de code-barres : c’est le sujet que nous abordons dans la première partie de cet article. Le plus commun des codes-barres est un code-barres symbolisé par des barres et des espaces d’épaisseurs ou de longueur variable. Au-dessous de ces barres, on peut lire 13 chiffres. Le code-barres est unique : un code pour chaque produit.

Le code délivre des informations précises sur un produit : origine du pays producteur, fabricant et numéro du produit. D’autres codes-barres comme le QR code peuvent contenir un lien pour informer le consommateur sur la façon de conserver le produit ou ses valeurs nutritives.

Quel code-barres pour quel pays ?

 

Parmi les informations délivrées par un code-barres, il y a bien la question de l’origine du pays. Voici quelques exemples pour un pays membre du système GS1. ➡️

On reconnaît un produit fait en France avec les chiffres 300 à 379. En Allemagne, 400 à 440. Au Royaume-Uni : 500 à 509. En Italie, 800 à 839. Les États-Unis ont plusieurs codes : 000 à 019/ 030 à 039/ 060 à 139. En Espagne : 840 à 849. Pour la Chine, il s’agit des codes 690 à 695.

Attention néanmoins, ces codes indiquent le pays où est situé le siège social d’une entreprise. Celui-ci peut être différent du pays de production.

Comment obtenir un code-barres ?

 

Pour créer un code-barres pour un produit qui a vocation à être vendu sur un marché national ou international, il faut passer par un organisme dédié.

Il convient de s’enregistrer auprès de GS1 qui délivre un code préfixe pour identifier l’entreprise. Nous développons la méthodologie pour cela dans la troisième partie de cet article.

Pour tous les autres codes-barres internes à une entreprise par exemple, ils pourront être générés à partir d’un logiciel de caisse classique.